Belgrade, Serbia - Recent
1. Various of refugees at camp in Krnjaca neighborhood
2. Various of refugees talking
3. Zakiullah Shahzad, or Zak, migrant from Afghanistan, walking into home
4. Various of interior of Zak's home, Zak, sister in room
5. SOUNDBITE (English) Zakiullah Shahzad, migrant from Afghanistan:
"It is better than the other countries. I've decided to live here. It's a good country, good government, good rules and good people here. So, I decided to live here. Look, I have everything here. Good room, good people, good migrants and it's good for me."
6. Various of refugees at camp in Krnjaca neighborhood
7. SOUNDBITE (Serbian) Bosko Obradovic, member of Parliament of the Serbian Movement Dveri (starting with shot 6):
"I think that credible doubts exist -- that in one moment in time, Serbia may serve to the EU as one big center for asylum seekers. We truly are in a bad situation -- with the constant blackmails from Brussels that we need to do one thing or another in order to proceed with our EU integration process. One of it is the idea that 'excess' migrants whom the EU doesn't want to accept, should permanently settle here in Serbia."
8. Pedestrians
9. Various of exterior of Serbian Internal Affairs Ministry
10. SOUNDBITE (Serbian) Nebojsa Stefanovoc, Serbian Internal Affairs Minister (staring with shot 9):
"If the EU decides that the migrants have to be distributed according to EU quotas, Serbia is of course ready to participate in that. We are not just ready to participate in the future -- we are participating in it right now. We already have 4,000 migrants on our territory and we are providing them with all the humane treatment which one country can deliver for migrants and refugees."
11. Various of teachers teaching children refugees drawing

Serbian officials have said the country is ready to accept migrants as per eventual European Union (EU) quotas, even though it is not an EU member.

Hungary, Poland, Czech Republic and Slovakia continue to defy EU-imposed quotas on migrants. Hungary even went as far to build a 155-kilometer long double fence wall along the border with Serbia to stem the illegal flow of migrants. As a result, thousands of those trying to reach Western Europe are stuck in Serbia, with little possibility of leaving.

Less than 10 kilometers from the Belgrade city center, a refugee camp in the Krnjaca neighborhood has been hosting hundreds of people for years now.

The refugees all come from the non-European countries, seeking a better life and future.

17-year-old Zakiullah Shahzad, or Zak, is one of them. More than two years ago, together with his sister Lida, he left Afghanistan, hoping to settle in Austria.

But both of them have been stuck here for the last 14 months after traveling through several countries and paying smugglers thousands of U.S. dollars. The chances of them reaching Austria are slim at best.

So Zak decided to settle down in Serbia instead.

"It is better than the other countries. I've decided to live here. It's a good country, good government, good rules and good people here. So, I decided to live here. Look, I have everything here. Good room, good people, good migrants and it's good for me," said Shahazad.

Zak is one of the 618,000 migrants who have requested asylum protection in Serbia since 2015, as they crossed the country to head west.

But most of them have already moved on to other EU countries, and only 4,000 of the applicants are currently in Serbia.

Because refugees applied for asylum in Serbia, the opposition claims there's a possibility of hundreds of thousands of them returning, if the EU decides to expel them.

"I think that credible doubts exist -- that in one moment in time, Serbia may serve to the EU as one big center for asylum seekers. We truly are in a bad situation -- with the constant blackmails from Brussels that we need to do one thing or another in order to proceed with our EU integration process. One of it is the idea that 'excess' migrants whom the EU doesn't want to accept, should permanently settle here in Serbia," said Bosko Obradovic, a member of Parliament of the Serbian Movement Dveri.

However, Serbian Internal Affairs Minister Nebojsa Stefanovoc said Serbia is ready to accept migrants as per eventual EU quotas, even though it is not an EU member.

"If the EU decides that the migrants have to be distributed according to EU quotas, Serbia is of course ready to participate in that. We are not just ready to participate in the future -- we are participating in it right now. We already have 4,000 migrants on our territory and we are providing them with all the humane treatment which one country can deliver for migrants and refugees," he said.

Belgrade, Serbie - Récent
1. Divers plans du camp de réfugiés dans la zone à proximité de Krnjaca
2. Divers plans de réfugiés parlant
3. Zakiullah Shahzad, ou Zak, migrant de l'Afghanistan, marchant
4. Divers plans de l'intérieur de la maison de Zak, Zak et sa sœur
5. SONORE (anglais) - Zakiullah Shahzad, migrant de l'Afghanistan:
"C’est mieux que d’autres pays. J’ai décidé de vivre ici. C’est un bon pays avec un bon gouvernement, des lois, et les gens sont gentils ici. Donc, j’ai décidé de vivre ici. Regardez, j’ai tout ici. Une pièce agréable, des personnes gentilles et des migrants gentils, c’est bien pour moi."
6. Divers plans de réfugiés dans le camp de la zone à proximité de Krnjaca
7. SONORE (serbe) - Bosko Obradovic, membre du Parlement du Mouvement Dveri serbe (commencée par le plan 6):
"Je pense que ces doutes crédibles existent – à un moment donné, la Serbie pourrait devenir un grand centre pour les demandeurs d’accueil de l'UE. Nous sommes vraiment dans une mauvaise situation – avec le chantage incessant de Bruxelles alors que nous avons besoin de procéder à une telle chose pour entamer notre processus d’adhésion à l’UE. Une idée propose que les migrants ‘excédants’ que l’UE ne veut pas accepter résident définitivement en Serbie."
8. Piétons
9. Divers plans de l'extérieur du ministère serbe de l'Intérieur
10. SONORE (serbe) - Nebojsa Stefanovoc, ministre serbe de l'Intérieur (commencée par le plan 9):
"Si l’UE décide que les migrants doivent être distribués selon les quotas imposés par l’UE, la Serbie est certainement prête à y participer à l’avenir. Nous y prenons déjà part à l’heure actuelle. Nous avons 4 000 migrants sur notre territoire, et nous leur offrons tous les traitements humnins possibles."
11. Divers plans d'enseignantes et des enfants en classe

Selon les officiels serbes, leur pays est prêt à accepter le quota de migrants imposé par l’Union européenne (UE), même s’il n’en fait pas partie.

La Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie continuent à refuser les quotas d’immigrants imposés par l’UE. La Hongrie a même construit un double mur de clôture d’une longueur de 155 kilomètres le long de la frontière avec la Serbie dans le but d’entraver l’affluence illégale de migrants. Par conséquent, des milliers de ceux qui tentent de gagner l’Europe occidentale sont coincés en Serbie, avec peu de possibilité de partir.

À moins de dix kilomètres du centre de la ville de Belgrade, un camp de réfugiés dans la zone à proximité de Krnjaca abrite des centaines de personnes depuis plusieurs années.

Les réfugiés viennent tous des pays non européens, à la recherche d’une vie et d’un futur meilleurs.

Zakiullah Shahzad, ou Zak, âgé de 17 ans, figure parmi eux. Il y a plus de deux années, il a quitté l’Afghanistan avec sa sœur Lida dans l’intention de s’installer en Autriche.

Cependant, tous les deux sont bloqués ici depuis quatorze mois après avoir traversé plusieurs pays et payé aux contrebandiers des milliers de dollars, rendant ainsi les chances d’atteindre leur destination encore plus faibles.

Dans ce cas-là, Zak a décidé de s’installer en Serbie.

"C’est mieux que d’autres pays. J’ai décidé de vivre ici. C’est un bon pays avec un bon gouvernement, des lois, et les gens sont gentils ici. Donc, j’ai décidé de vivre ici. Regardez, j’ai tout ici. Une pièce agréable, des personnes gentilles et des migrants gentils, c’est bien pour moi", a-t-il présenté.

Zac est l’un des 618 000 migrants qui ont demandé l'asile aux centres d’accueil en Serbie depuis 2015, quand ils traversaient le pays pour se rendre vers l’Ouest.

La plupart d’entre eux se sont dirigés vers d’autres pays européens, alors que seulement 4 000 des demandeurs d’accueil résident actuellement en Serbie.

Du fait que les réfugiés ont demandé l'asile en Serbie, l’opposition annonce qu’il y a une possibilité, en cas d’exclusion décidée par l’UE, de rentrer chez eux pour des centaines de milliers de personnes.

"Je pense que ces doutes crédibles existent – à un moment donné, la Serbie pourrait devenir un grand centre pour les demandeurs d’accueil de l'UE. Nous sommes vraiment dans une mauvaise situation – avec le chantage incessant de Bruxelles alors que nous avons besoin de procéder à une telle chose pour entamer notre processus d’adhésion à l’UE. Une idée propose que les migrants ‘excédants’ que l’UE ne veut pas accepter résident définitivement en Serbie", a analysé Bosko Obradovic, un membre du Parlement du Mouvement Dveri serbe.

Pourtant, selon le ministre serbe de l'Intérieur Nebojsa Stefanovic, le pays est disposé à accueillir les migrants du quota imposé par l’UE, même s’il n’en fait pas partie.

"Si l’UE décide que les migrants doivent être distribués selon les quotas imposés par l’UE, la Serbie est certainement prête à y participer à l’avenir. Nous y prenons déjà part à l’heure actuelle. Nous avons 4 000 migrants sur notre territoire, et nous leur offrons tous les traitements humains possibles", a fait savoir le responsable.