Johannesburg, South Africa - April 5, 2024 (CGTN - No access Chinese mainland)
1. Sign of National AI Summit
2. Various of attendees; South African Minister of Communications and Digital Technologies Mondli Gungubele speaking at podium
3. SOUNDBITE (English) Mondli Gungubele, minister, Ministry of Communications and Digital Technologies, South Africa (starting with shot 2/ending with shot 4):
"The biggest challenge we have on AI is to stay apace with it so that at all material times it serves the human what we call human purpose. We must make sure we've got policy; we've got standards because it must never be allowed to serve anything detrimental to humanity."

FILE: South Africa - Date Unknown (CGTN - No access Chinese mainland)
4. Woman working at laptop
5. Mobile phone held in hands
6. Laptop on table
7. People working at cafe
8. Mobile phone held in hands

Johannesburg, South Africa - April 5, 2024 (CGTN - No access Chinese mainland)
9. SOUNDBITE (English) Nick Bradshaw, founder, South African Artificial Intelligence Association (starting with shots 7-8):
"Now you have people, individual consumers, individuals on their phones that can now start playing with AI and you couldn't even do three years ago. So in this new landscape that we're in, it is the right time to be having this discussion talking about responsible AI."
10. Robotic dog, Go
11. Banner of Hub of Artificial Intelligence Institute of South Africa at Tshwane University of Technology
12. Various of robotic dog, Go; control in hands
13. SOUNDBITE (English) Anish Kurien, acting director, Hub of Artificial Intelligence Institute of South Africa, Tshwane University of Technology (starting with shot 12/ending with shots 14):
"One of the ideas of this technology is to move into environments that could be of potential health risks to the individual. Take the mining environment. To send a human being into certain contexts might be of potential safety risks. So, in those type of environment sending such a platform to visualize to sense, to study the environment."
14. Robotic dog, Go
15. Laptop
16. SOUNDBITE (English) Paul Ntsinyi, lecturer, Central University of Technology (starting with shot 15/ending with shot 17):
"We mainly focus on assistive mobility devices. So, we are looking at problems where we have people that are disabled, fully disabled and they basically cannot even move a muscle, but they can speak. So, we've developed this wheelchair, which basically can take your speech and then use that to move around an area."
17. Various of wheelchair
18. Laptop
19. Various of people, robots

The need for artificial intelligence regulation has been under the spotlight during the National AI Summit held in Johannesburg, South Africa, on Friday, where a plan in this regard was discussed by attendees.

"The biggest challenge we have on AI is to stay apace with it so that at all material times it serves the human what we call human purpose. We must make sure we've got policy; we've got standards because it must never be allowed to serve anything detrimental to humanity," said South African Minister of Communications and Digital Technologies Mondli Gungubele.

"Now you have people, individual consumers, individuals on their phones that can now start playing with AI and you couldn't even do three years ago. So, in this new landscape that we're in, it is the right time to be having this discussion talking about responsible AI," said Nick Bradshaw, founder of the South African Artificial Intelligence Association.

Go, a robotic dog from China, was a star attraction on the sidelines of the summit. The digital marvel is being tested by the Tshwane University of Technology, home to one of 11 AI hubs. Universities have been tasked with building skills and cutting-edge innovations.

"One of the ideas of this technology is to move into environments that could be of potential health risks to the individual. Take the mining environment. To send a human being into certain contexts might be of potential safety risks. So, in those type of environment sending such a platform to visualize to sense, to study the environment," said Anish Kurien, acting director of the Hub of Artificial Intelligence Institute of South Africa at the Tshwane University of Technology.

The vast potential of AI to address complex challenges is also being explored.

"We mainly focus on assistive mobility devices. So, we are looking at problems where we have people that are disabled, fully disabled and they basically cannot even move a muscle, but they can speak. So, we've developed this wheelchair, which basically can take your speech and then use that to move around an area," said Paul Ntsinyi, a lecturer with the Central University of Technology.

Johannesburg, Afrique du Sud - 5 avril 2024 (CGTN - Pas d’accès dans la partie continentale de la Chine)
1. Signe du Sommet national sur l'IA
2. Divers plans de participants ; le ministre sud-africain des Communications et des Technologies numériques, Mondli Gungubele, s'exprimant sur le podium
3. SONORE (anglais) - Mondli Gungubele, ministre sud-africain des Communications et des Technologies numériques (commencée avec plan 2/terminée avec plan 4) :
"Le plus grand défi auquel nous sommes confrontés en matière d'intelligence artificielle est de rester à son rythme afin qu'à tout moment matériel, elle serve l'humain, ce que nous appelons des objectifs humains. Nous devons nous assurer d’avoir une politique, des normes, car nous ne devons jamais lui permettre d’être préjudiciable à l'humanité."

ARCHIVES : Afrique du Sud – Date inconnue (CGTN – Pas d’accès dans la partie continentale de la Chine)
4. Femme travaillant sur un ordinateur portable
5. Personnes tenant un téléphone portable
6. Ordinateur portable sur la table
7. Personnes travaillant au café
8. Personnes tenant un téléphone portable

Johannesburg, Afrique du Sud - 5 avril 2024 (CGTN - Pas d’accès dans la partie continentale de la Chine)
9. SONORE (anglais) - Nick Bradshaw, fondateur de l’Association sud-africaine pour l'intelligence artificielle (commencée avec plans 7-8) :
"Aujourd'hui, des consommateurs individuels peuvent commencer à jouer avec l'IA sur leur téléphone, ce qui était impossible il y a trois ans. Donc, dans ce nouveau paysage dans lequel nous nous trouvons, c'est le bon moment pour avoir cette discussion sur l'IA responsable."
10. Chien robot
11. Bannière du Centre d'IA de l’institut de l’Afrique du sud de l’Université de technologie de Tshwane
12. Divers plans d'un chien robot ; télécommande
13. SONORE (anglais) - Anish Kurien, directeur par intérim du Centre d'IA de l’institut de l’Afrique du sud de l’Université de technologie de Tshwane (commencée avec plan 12/terminée avec plan 14) :
"L'une des idées de cette technologie est d'évoluer dans des environnements qui pourraient présenter des risques potentiels pour la santé de l'individu. Prenons l'exemple de l'environnement minier. Envoyer un être humain dans certains contextes peut présenter des risques potentiels pour la sécurité. Ainsi, dans ce type d’environnement, l'envoi d'une telle plateforme permet de visualiser, de sentir et d'étudier l'environnement."
14. Chien robot
15. Ordinateur portable
16. SONORE (anglais) - Paul Ntsinyi, maître de conférences de l’Université centrale de technologie (commencée avec plan 15/terminée avec plan 17) :
"Nous nous concentrons principalement sur les dispositifs d'assistance à la mobilité. Nous nous intéressons donc aux problèmes que rencontrent les personnes handicapées, totalement handicapées, qui ne peuvent même pas bouger un muscle, mais qui peuvent parler. Nous avons donc mis au point ce fauteuil roulant, qui utilise la parole pour vous déplacer dans une zone."
17. Divers plans d'un fauteuil roulant
18. Ordinateur portable
19. Divers plans de personnes, robots

La nécessité d'une réglementation de l'intelligence artificielle (IA) a été mise en exergue lors du Sommet national sur l'IA qui s'est tenu vendredi à Johannesburg, en Afrique du Sud, au cours duquel les participants ont discuté d'un plan à cet égard.

"Le plus grand défi auquel nous sommes confrontés en matière d'intelligence artificielle est de rester à son rythme afin qu'à tout moment matériel, elle serve l'humain, ce que nous appelons des objectifs humains. Nous devons nous assurer d’avoir une politique, des normes, car nous ne devons jamais lui permettre d’être préjudiciable à l'humanité", a déclaré Mondli Gungubele, ministre sud-africain des Communications et des Technologies numériques.

"Aujourd'hui, des consommateurs individuels peuvent commencer à jouer avec l'IA sur leur téléphone, ce qui était impossible il y a trois ans. Donc, dans ce nouveau paysage dans lequel nous nous trouvons, c'est le bon moment pour avoir cette discussion sur l'IA responsable", a indiqué Nick Bradshaw, fondateur de l’Association sud-africaine pour l'intelligence artificielle.

Go, un chien robot conçu par la Chine, était l'une des vedettes du sommet. Cette merveille numérique est testée par l’Université de technologie de Tshwane, qui abrite l’un des onze centres d’IA. Les universités ont été chargées de développer les compétences et les innovations de pointe.

"L'une des idées de cette technologie est d'évoluer dans des environnements qui pourraient présenter des risques potentiels pour la santé de l'individu. Prenons l'exemple de l'environnement minier. Envoyer un être humain dans certains contextes peut présenter des risques potentiels pour la sécurité. Ainsi, dans ce type d’environnement, l'envoi d'une telle plateforme permet de visualiser, de sentir et d'étudier l'environnement", a noté Anish Kurien, directeur par intérim du Centre d'IA de l’institut de l’Afrique du sud de l’Université de technologie de Tshwane.

Le vaste potentiel de l’IA pour relever des défis complexes est également exploré.

"Nous nous concentrons principalement sur les dispositifs d'assistance à la mobilité. Nous nous intéressons donc aux problèmes que rencontrent les personnes handicapées, totalement handicapées, qui ne peuvent même pas bouger un muscle, mais qui peuvent parler. Nous avons donc mis au point ce fauteuil roulant, qui utilise la parole pour vous déplacer dans une zone", a indiqué Paul Ntsinyi, maître de conférences de l’Université centrale de technologie.

Johannesburgo, Sudáfrica - 5 de abril de 2024 (CGTN - No acceso a la parte continental de China)
1. Señal de la Cumbre Nacional de Inteligencia Artificial
2. Varios planos del ministro de Comunicaciones y Tecnologías Digitales de Sudáfrica, Mondli Gungubele, pronunciando discurso
3. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Mondli Gungubele, ministro de Comunicaciones y Tecnologías Digitales de Sudáfrica (comienza con plano 2, termina con plano 4)
"El mayor desafío que tenemos en materia de la inteligencia artificial es mantenernos al día para que en todo momento sirva al ser humano, lo que llamamos el propósito humano. Debemos asegurarnos de que tengamos políticas y estándares porque nunca debe permitirse que perjudique a la humanidad".

ARCHIVO: Sudáfrica – Fecha y localidad exacta desconocidas (CGTN - No acceso a la parte continental de China)
4. Mujer trabajando con un portátil
5. Persona utilizando teléfono inteligente
6. Portátil en la mesa
7. Personas utilizando portátiles en una cafetería
8. Persona utilizando teléfono inteligente

Johannesburgo, Sudáfrica - 5 de abril de 2024 (CGTN - No acceso a la parte continental de China)
9. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Nick Bradshaw, fundador de la Asociación Sudafricana de Inteligencia Artificial (comienza con planos 7 y 8)
"Ahora las personas, los consumidores individuales, y los individuos pueden utilizar la inteligencia artificial en sus teléfonos, algo que era imposible hace tres años. Así que, en este nuevo panorama en el que nos encontramos, es el momento adecuado para tener esta discusión sobre una inteligencia artificial responsable".
10. Perro robótico chino Go
11. Cartel del Centro del Instituto de Inteligencia Artificial de Sudáfrica en la Universidad Tecnológica de Tshwane
12. Varios planos del personal probando el perro robótico
13. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Anish Kurien, director en funciones del Centro del Instituto de Inteligencia Artificial de Sudáfrica en la Universidad Tecnológica de Tshwane (comienza con plano 12, termina con plano 14)
"Una de las ideas de esta tecnología es aplicarse en entornos que podrían representar riesgos potenciales para la salud humana. Tomemos como ejemplo el entorno minero. Enviar a un ser humano a ciertos contextos podría representar riesgos potenciales para la seguridad. Entonces, en ese tipo de entorno es mejor utilizar una plataforma de este tipo para visualizar, sentir y estudiar el entorno".
15. Portátil en la mesa
16. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Paul Ntsinyi, profesor de la Universidad Central de Tecnología (comienza con plano 15 y termina con plano 17)
"Nos centramos principalmente en dispositivos de asistencia a la movilidad. Por lo tanto, estamos analizando problemas de las personas discapacitadas, totalmente discapacitadas, que básicamente no pueden ni mover un músculo, pero pueden hablar. Por eso, hemos desarrollado esta silla de ruedas, capaz de escuchar tus palabras y puedes utilizarla para desplazarte por un área".
17. Varios planos de la silla de rueda inteligente
18. Portátil en la mesa
19. Varios planos de robots

La necesidad de regular la inteligencia artificial ocupó el centro de atención durante la Cumbre Nacional de IA celebrada el viernes en Johannesburgo, Sudáfrica.

Los participantes del evento subrayaron la inevitabilidad de enfocarse en la responsabilidad de la inteligencia artificial.

"El mayor desafío que tenemos en materia de la inteligencia artificial es mantenernos al día para que en todo momento sirva al ser humano, lo que llamamos el propósito humano. Debemos asegurarnos de que tengamos políticas y estándares porque nunca debe permitirse que perjudique a la humanidad", afirmó el ministro sudafricano de Comunicaciones y Tecnologías Digitales, Mondli Gungubele.

"Ahora las personas, los consumidores individuales, y los individuos pueden utilizar la inteligencia artificial en sus teléfonos, algo que era imposible hace tres años. Así que, en este nuevo panorama en el que nos encontramos, es el momento adecuado para tener esta discusión sobre una inteligencia artificial responsable", dijo Nick Bradshaw, fundador de la Asociación Sudafricana de Inteligencia Artificial.

Go, un perro robótico chino, se convirtió en la estrella de la cumbre. La maravilla digital está siendo probada por la Universidad Tecnológica de Tshwane, sede de uno de los centros de inteligencia artificial establecidos por el gobierno sudafricano. A las universidades se les ha encomendado la tarea de desarrollar habilidades e innovaciones de vanguardia.

"Una de las ideas de esta tecnología es aplicarse en entornos que podrían representar riesgos potenciales para la salud humana. Tomemos como ejemplo el entorno minero. Enviar a un ser humano a ciertos contextos podría representar riesgos potenciales para la seguridad. Entonces, en ese tipo de entorno es mejor utilizar una plataforma de este tipo para visualizar, sentir y estudiar el entorno", explicó Anish Kurien, director en funciones del Centro del Instituto de Inteligencia Artificial de Sudáfrica en la Universidad Tecnológica de Tshwane.

También se está explorando el enorme potencial de la IA para abordar desafíos complejos.

"Nos centramos principalmente en dispositivos de asistencia a la movilidad. Por lo tanto, estamos analizando problemas de las personas discapacitadas, totalmente discapacitadas, que básicamente no pueden ni mover un músculo, pero pueden hablar. Por eso, hemos desarrollado esta silla de ruedas, capaz de escuchar tus palabras y puedes utilizarla para desplazarte por un área", dijo Paul Ntsinyi, profesor de la Universidad Central de Tecnología.

La IA es una herramienta poderosa para abordar los desafíos socioeconómicos, transformar las empresas y recaudar miles de millones de dólares para la economía de África. Pero el continente está muy por detrás de países como China y Estados Unidos en este campo, y necesitará acelerar el ritmo para cosechar todos los beneficios de la cuarta revolución industrial.